
Alors qu’il tend à se généraliser dans les relations avec l’administration, certaines décisions des autorités de protection des données de l’UE suggèrent qu’un droit à l’erreur pourrait justifier un accès injustifié à un dossier médical. Théoriquement, l’erreur humaine n’écarte pas un manquement au RGPD. Et la pratique est parfois alignée, considérant que l’erreur prouve une insuffisance des mesures (GPDP, 8 février 2024, n° 9994597 ; …
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