🔍 Voilà une décision… dont je ne vous donnerai pas les références !

Pourquoi ?

⚖️ Parce que le juge… a oublié de l’anonymiser.

Eh oui, nul n’est à l’abri du biais d’automatisation.

Pas même Légifrance, qui a indexé les données et permet de les retrouver via son moteur de recherche.

(Un cas intéressant de partage de compétences entre la CNIL et le Conseil d’État, en matière de sanction.)

🧠 Et sur le fond ? Une décision difficile à comprendre.

Un agent hospitalier exfiltre des centaines de messages pour contester son licenciement pour faute grave.

📤 Des données transférées en clair, sans chiffrement.

🆓 Via un outil grand public.

Du type : “Si c’est gratuit, c’est vous le produit.”

(Au passage : avez-vous lu les nouvelles CGU de WeTransfer ?)

🏥 Un dixième des messages contient des données de santé identifiantes.

Et pourtant…

🙃 Le juge conclut à l’absence de faute.

Rien ne prouverait un accès par des tiers.

Évident, non ?

🤦‍♂️ Une méconnaissance flagrante du fonctionnement des services de transfert de fichiers.

🚫 Des services gratuits, sans contrepartie apparente… mais pas sans risque.

💬 Avez-vous déjà eu à gérer ce type de situation ? Partagez en commentaires.

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